Tout rapport avec des lieux, une histoire et des faits réels
ne serait absolument pas du fait du hasard..
Tartupaluk, le Roc Gardien de l’Arctique.
Il était une fois, quelque part aux confins de la Terre, un îlot posé comme un défi à la sagesse des hommes ; un Roc suspendu entre l’Eau et le Ciel, tel un Titan fabuleux fixé au cœur des glaces. ..
Cette île n’était pas de celles accueillantes ou couvertes d’une végétation luxuriante et pour tout dire, elle était une masse de pierre dressée dans sa force brute, face aux plus violents éléments d’une nature qui aimait se faire sauvage. Il se murmurait d’ailleurs, qu’elle pouvait bien être l’une de ces « Îles Gardiennes » qui veille sur les passages sacrés, plus encore en ces temps cruciaux où l’homme mettait en péril la survie même du monde..
Selon leurs origines, ils la baptisèrent « Île Hans », « Hans Ø”, ”ᑕᕐᑐᐸᓗᒃ” , ”Tartupaluk * et sa modeste taille ne l’empêchait pas d’Être un élément clef de ce lieu perdu des bords de la Terre, à mille kilomètres exactement de ce point le plus septentrional qu’était le Pôle Nord ; dans l’Océan Arctique. Méconnue, son rôle devait pourtant devenir majeur puisque par sa position même, elle devenait l’un des rares lieux de ce monde qui pouvait n’appartenir à personne. Sa destinée l’aménerait ainsi à devenir un emblème, un « no man’s land » libre de toute occupation imposée, une Terre d’accueil universel, qui ne pourrait subir une quelconque appropriation ou annexion.
Son intégrité ainsi protégée, elle pouvait être l’égérie des Libertés, le fer de lance d’un avenir qui pouvait désormais se rêver et se proclamer émancipé pour veiller sur les pôles et les terres à défendre, limitant ainsi les abus et autres prédations coutumiers des temps ; un rôle-clef à tenir dans l’histoire du monde, en ce 21 ème siècle qui se devait d’être bientraitant, ou ne serait pas.
Pouvait-on imaginer ne serait-ce qu’un instant que cette Île n’était pas là par hasard, mais bien sur l’emplacement exact, le point précis d’une ligne particulière qui lui correspondait le mieux, dans ce qu’elle était tenue d’Être et de faire ?
Deux de ses sœurs du même chenal, n’avaient pas eu ce choix et étaient devenues les conquêtes cartographiques de l'un des deux pays opposés, les éloignant à jamais de toute espérance d’être elles aussi, des Terres libres.
Le destin singulier de l’île Tartupaluk (nous privilégierons ce nom donné par un Peuple des glaces) s’est dessiné un beau jour de 1973, qui ne semblait pourtant pas un jour plus étrange qu’un autre, quand deux nations décidèrent de tracer la frontière qui délimiterait leurs pays respectifs.. Tartupaluk se trouva alors au beau milieu d’une ligne de partage des eaux qui bien qu’invisible, prenait dés lors le pouvoir de générer des guerres ou de garantir la paix. Longtemps oubliée, elle devenait par les circonstances le lieu à conquérir ; elle changeait tout à coup de statut et d’inconnue, elle devenait « le Roc » dont il fallait absolument s’emparer.
Chacun d’entre nous fort d’une histoire collective jalonnée de guerres et d’annexions, a désormais compris que quand les belligérants veulent un lieu c’est toujours parce qu’il y a profit, pouvoir ou enjeu géopolitique à la clef. Nous ne comptons plus hélas, dans les mémoires du monde ces stratégies d’accaparements destructeurs des « grands de ce monde », où s’inscrivent en lettres de sang et de larmes la carence dramatique d’un humanisme toujours pas érigé en précepte ni en loi.
Nul n’aurait pu pressentir cette place désormais stratégique que l’Île rocheuse allait tenir dans nos destinées, puisque durant des millénaires isolée dans les glaces arctiques, elle avait été la plupart du temps inaccessible et visitée seulement par quelques missions scientifiques. C’était donc par les effets du changement climatique et les nouvelles voies maritimes qu’il allait ouvrir dans la fonte des glaces, que les velléités de conquête des protagonistes s’activèrent telle une antique malédiction guerrière. Tartupaluk représentait dés lors un passage essentiel sur les futures prédations de l’un des derniers territoires vierges et sauvages, protégé jusqu’alors par sa précieuse impénétrabilité.
Bien des époques se sont succédées sur notre vaisseau Terre, bien des Peuples, des Espèces, des Règnes, des révolutions géologiques et climatiques, … Qui aurait pu prévoir que notre maison commune serait à ce point affligée et impactée par un seul groupe prétendument pensant, qui avait la fâcheuse propension à détruire ce qu’il convoitait. C’est ainsi qu’en quelques décennies de l’homme « dit moderne » qui s’avérait être d’un appétit insatiable, peu de territoires étaient à ce jour encore préservés des conquêtes erratiques qui signifiaient à chaque fois la destruction et la mort, au sein de tous les écosystèmes.
Mais les temps avaient changé, tous savaient l’amère désillusion, l’information cruciale de ce danger pour tous les peuples et milieux, qui circulait désormais en temps réel dans la trame du monde ; bien des éléments pouvaient ainsi mettre à mal les désirs de contrôles outranciers, d’un groupe devenu le pire ennemi de son propre environnement.
Le fait est que la mise en péril de l’entité Terre dans son ensemble, avait enclenché une réaction en chaîne et que tous, éléments de la Nature compris, seraient dés lors en mesure de contrarier par tous les moyens imaginables, le fléau humain devenu ingérable. Le monde vivant avait toujours été d’une imagination sans limite et regorgeait de forces assoupies, de capacités de transformations et d’adaptations auprès desquelles les enfants terribles, n’avaient pas encore pris la pleine mesure de ce qui se jouait dans les profondeurs terrestres.
Comment tant d’individus pouvaient ainsi se précipiter vers leur propre perte restait encore un grand mystère, le drame étant surtout que toutes les autres communautés terrestres se trouvaient aussi en grand danger, notamment les peuples anciens qui avaient su garder la sagesse et la connaissance du monde. Coexister avait de tout temps été la règle des interdépendances et de ces accords implicites étaient nés tous les équilibres du Vivant, les structures essentielles pour traverser les ères ; chacun se confrontant à la nécessité d’offrir au tout, pour pouvoir maintenir son droit à Être et à devenir, sur une Terre commune.
Cette fabuleuse aventure du monde durait depuis des temps si anciens qu’elle prenait racine dans l’histoire même des univers et de leurs conceptions. Dans ces fulgurances conceptrices, la Terre avait reçu sa destinée : celle de porter ceux qui croîtraient par leurs partages, leurs alliances bienfaisantes, les osmoses aussi qui s’établiraient comme une règle tacite et immuable. La Vie avait tâtonné, créé, effacé dans la prodigieuse foison d’écosystèmes merveilleusement diversifiés et le seul qui finalement ne cessait de prouver son incapacité à partager et à protéger, s’avérait pire que le pire des poisons.
Il était devenu l’ennemi de sa propre Terre..
L’île Tartupaluk bien sise au milieu des flots était donc l’enjeu qui donnerait un pouvoir terrible à celui qui l’emporterait, parce qu’aucun pays du nord n’était encore en capacité et en volonté de devenir défenseur de la Vie et de l’avenir. L’ouverture de ce passage à la prédation serait pourtant comme ouvrir l’ultime boîte de pandore dont nul ne se relèverait, tant les royaumes de glace et leur intégrité préservée, régulaient les équilibres du climat sur la planète entière.
L’île convoitée veillait immuable, fantastique relique des temps anciens, ancrée puissamment au beau milieu d’un chenal entre deux pays se rêvant conquérants, à dix sept kilomètres exactement de l'une et de l'autre rive ; ce qui incitait chacune de ces nations à la revendiquer, s’appuyant pour ce faire sur le droit international des hommes. Pour celui qui savait lire les signes pourtant, se dessinait dans la texture même des roches sculptées par les vents et les embruns salés, l’omniprésence d’une de ces Baleines blanches** que l’on nomme « Béluga », qui nous rappelait que notre histoire était reliée à celles des mondes naturels et anciens qui avaient leur propre loi et que nous touchions là à une force qui ne se laisserait pas dompter ni même contraindre.
L’homme avait donné naissance à une sinistre réalité où la cupidité était érigée comme une norme qui seule pourrait nous mettre en mouvement, mais « Le Roc » imposait sa masse et tenait sa place, nous démontrant que chacun d’entre nous pouvait devenir le grain de sable dans la folie du monde. Les profondeurs inexploitées avaient été protégées par la rudesse du climat et des glaces de la haute prédation, celle qui laisse les terres, les mers exsangues et souillées, vidées de leur substance. D’autres Terres ailleurs avaient tout autant été des trésors vivants et essentiels du monde, avant d’être sacrifiées pour l’intérêt de quelques-uns. L’Amazonie en était le dramatique symbole, tout comme la Mer d’Aral qui fut auparavant l’un de ces paradis perdus transformé en enfer : La surexploitation du pétrole sang de la terre, des autres énergies fossiles ainsi que celle des ressources naturelles, bien commun universel, ne serait que le début de la curée du grand nord encore inviolé et de marées noires qui entacheraient à jamais la blancheur immaculée.
Comme dans tous les contes il fallait bien un ogre et l’un d’entre eux particulièrement vorace voulait, pour le dévorer, s’offrir le Groenland Terre des ancêtres et des sages, attiré par ses richesses mais aussi par l’une de ces stratégies géopolitiques qui participent à faire marcher le monde au pas de conquêtes et de pouvoirs insensés.
Tous savaient désormais que les lois des hommes étaient détournées pour protéger les jeux de domination et en aucun cas la bonne santé d’une Planète commune, pourtant irremplaçable ; notre Vaisseau Terre. Une coexistence apaisée ne pouvait pas s’établir dans ce manque de justice universelle et il fallait désormais ouvrir l’esprit, le cœur et la conscience de ceux qui pourraient s’opposer par le nombre et le droit à vivre, face au machiavélisme des prédateurs qui broyaient la vie dans leurs poings fermés.
N’était-il pas écrit dans les annales du monde, que nous pouvions faire tellement mieux et qu’une destinée bien plus grande nous permettrait de transformer les obscures destructions en lumineuses conceptions d’une Terre nouvelle ?
A l’aube du siècle qui espérait nos éveils, nous pouvions enfin affirmer et décider de protéger l’essence même de la Vie, en faisant le choix de nous extraire du consumérisme à outrance sur une Terre affligée. Les rêves d’indépendance mal pensés avaient souvent ouvert la voie du pire et une pseudo liberté illusoire avait pris le goût du sang de la terre. C’était bien l’intégrité de la nature même du lieu et d’un avenir digne qui étaient en balance dans ces temps-miroirs ; oscillants et comme suspendus à l’île de Pierre qui faisait barrage à l’invasion d’un barbarisme moderne, qui avait perdu son cœur quelque part dans les arcanes d’un vieux monde destructeur.
L’homme qui se prétendait moderne niait encore les sagesses des Peuples anciens qui avaient pourtant maintenu les cycles et les équilibres de la Nature durant des millénaires, alors qu’il ne lui avait fallu que quelques décennies pour mener au bord du gouffre une planète entière. Réapprendre les rythmes ancestraux, l’essence même de la Vie et permettre aux Gardiens de la Terre de nous enseigner comment Être et comment faire, restait l’issue la plus sage et sans nul doute la seule en mesure de nous extraire du chaos qui se trouvait juste sur la ligne de notre horizon.
Le Roc dans sa posture farouche se présentait en défenseur d’un avenir possible en prenant fait et acte pour la Vie dans son ensemble, parce que face à l’invasion sans mesure, le poisson viendrait alors à manquer, premier marqueur d’une hémorragie qui ne ferait que commencer... Puis c’est l’environnement tout entier qui s’étiolerait, perdant alors toute force et énergie au rythme de l’épanchement fatal.. Le mode de vie, les traditions intrinsèques des mondes préservés s’éteindraient petit à petit, tout comme l’espoir qui déjà s’en serait allé.
Cette Terre pourtant ne nous appartenait pas et ne pouvait battre que son propre pavillon, l’étendard d’une Planète sur laquelle nous n’étions que de passage, Elle, qui nous avait toujours nourris de sa prodigieuse fécondité. Ces appropriations qui légitimeraient le pire dans une logique égocentrique nous auto proclameraient une fois encore, méga prédateurs alors que nous aurions dû nous dresser comme grands protecteurs des lieux intemporels dont nous avions la garde ; préservés durant des temps infinis et si anciens que même la plus antique histoire de l’homme ne s’en remémore pas.
Deux pays luttaient pour la conquête d’une Île dont la mainmise impacterait le monde, le présent et les siècles à venir par manque de sagesse ou bien alors de suffisamment de bonté pour soutenir le futur et garantir l’intégrité des espaces naturels et des hommes. L’éternelle cupidité créerait-elle une fois de trop un chaos dont nul cette fois-ci ne se relèverait ?
Il s'était instauré une sorte de tradition.. Chaque belligérant posait pied sur l’île de pierre pour déposer un drapeau et une bouteille de bourbon, bien vite remplacés par d’autres couleurs et cette fois-ci un brandy qui à son tour marquerait la place. Un « rituel » qui pourrait vite perdre de sa valeur pacifiste et symbolique, tant les enjeux étaient colossaux dans cette course au profit.
Mais il arrive parfois que quand tout semble perdu, d’autres forces entrent enfin en jeu…
Isolée du reste du monde, dans des climats que peu d’hommes pouvaient surmonter, l’Île Tartupaluk aurait pu rester seule dans cette destinée de gardienne de l’intégrité des terres et des eaux de glace. Mais il était dit qu’elle aurait aussi son défenseur au travers d’un explorateur, grand arpenteur des régions polaires.
Celui-ci parcourait les territoires glacés depuis de longues années, un ermite des temps modernes engagé dans une quête solitaire, un marcheur des glaces qui étudiait attentivement cet environnement gelé, jusqu’à finir par percer quelques-uns de ses secrets. Son rôle à lui était d’étudier et d’alerter sur l’importance de ces fontes des Pôles dramatiques et de ces mers étoilées de cristaux, qui n’étaient plus aussi éternels. Mais dans un système devenu sourd et aveugle aux drames intimes de cette Terre, quels pouvaient être les moyens et les outils pour informer et ébranler ce monde insensé qui se condamnait par son immobilisme et son inertie à la défendre ?
Lui, qui avait été explorateur et guide pour sensibiliser à la beauté et à l’importance de ces confins glacés, n’avait eu de cesse de partager et de transmettre cette passion qui l’avait saisi un jour, initié sans doute par les éléments mystérieux des mondes de glace qui avaient reconnu en lui l’allié qui saurait les représenter et les défendre, dans la société des hommes. Et c’est ainsi qu’il s’en était allé de conférences en écriture d’ouvrages où il sût dispenser les mots et les images pour éveiller à l’urgence des temps.
Mais dans ce monde ivre de sa propre superficialité qui consistait à s’oublier sans se soucier des lendemains, il fallait autre chose, un projet à fort pouvoir magique qui pourrait éveiller la flamme d’engagements fabuleux et puissants.
Tartupaluk pouvait être reconnue par les hommes comme « terra nullius », une contrée qui n’appartenait à personne. Ce rocher du bout du monde était à lui seul un symbole majeur, sans fioritures, sans rien de superficiel ou d’inutile, qui avait le pouvoir d’en appeler à notre responsabilité collective face aux changements climatiques majeurs que nous avions nous même générés.
Et c’est ainsi que naquit le projet « Hans Insula Universalis*** » qui devait permettre à ceux qui le désiraient de se déclarer citoyens de l’île Tartupaluk/Île Hans, ressortissants d’un monde qui pourrait ainsi s’opposer à la prédation et à la folie, par cette volonté affirmée de considérer l’intégrité élémentaire des Terres et des Mers glacées. Occupation virtuelle mais ô combien effective d’un espace entre deux mondes, d’un Rocher qui par le renoncement historique de deux pays pourrait s’internationaliser et atteindre le cœur des hommes, tout en pacifiant cette partie là du monde ; une Terre devenue universelle, fabuleux présage de temps neufs, dédiée à la science et à l'étude des banquises.
Mais en 2014, à l’éclosion de ce projet, tous les habitants de cette Terre n’étaient pas encore prêts. Ils terminaient leur spirale descendante qui devait leur permettre d’atteindre le fond d’une déraison collective, pour subir enfin ce choc frontal, ce chaos de la première pandémie du 21 ème siècle qui devait faire office de déclencheur, si ce n’est de détonateur d’une autre conscience en émergence.
Parce qu’il en était ainsi de l’homme et de ses éveils difficiles, celui en apprentissage qui n’avait pas toujours su agir par sagesse mais dans une urgence qui l’avait toujours placé le dos au mur de l’absurdité et de son inconscience. Il n’était plus temps pourtant de s’endormir ou de s’oublier dans les trépidations d’un monde en pleine déliquescence et chacun était désormais confronté au nécessaire courage d’agir, qui nous parlait surtout d’espoir et d’avenir.
Le temps était donc venu et tout autour de l’île commençait à résonner l’appel d’une mobilisation mondiale qui permettrait à chacun de mettre au monde la civilisation des temps nouveaux, celle qui saurait surgir au-delà de l’illusion et des apparences éphémères. Bien des éléments allaient dés lors s’associer et s’aligner afin de permettre ce qui jusqu’alors semblait chimérique : unir le monde au nom de la vie et d’un futur enfin possible.
Certes, il pouvait s’élever chez certains d’entre nous une petite voix sceptique qui affirmait toujours ne pas y croire.. Mais à celle-ci nous ne rappellerons qu’une seule chose : Qui aurait cru il y a ne serait-ce qu’un an que la quasi totalité de l’humanité finirait cloîtrée derrière ses murs et que nombre de frontières se fermeraient à nouveau ? Qui aurait pu penser qu’un bouleversement mondial remettrait chacun d’entre nous et toute une pyramide de systèmes abscons, sous le joug d’un tout petit élément perturbateur ?
Quelque part dans le cercle arctique, quelque chose frémit.
Une résonance, un écho, l’éveil d’une conscience et d’une force qui bat le rappel de tous ceux présents et à venir en mesure de se dresser au cœur même du pays des glaces ; dans les terres préservées pour nous restituer aujourd’hui même la mémoire d’une autre destinée, qui attend les Femmes et les Hommes, Enfants de cette Terre.
Et comme le dit si bien L’Association « Hans Universalis » « Préserver une Île, c’est préserver le monde » !
Notes :
*L’île Hans — en danois Hans Ø, en anglais Hans Island, en inuktitut ᑕᕐᑐᐸᓗᒃ et en groenlandais Tartupaluk (source wikipédia)
** La Baleine blanche a de tous temps été liée aux peuples anciens. Au travers de ses chants particulièrement riches et diversifiés qui la connectent à ceux de sa communauté, elle nous rappelle l’importance de transmettre les savoirs et de nous éveiller. Elle est la gardienne des connaissances intemporelles et des mémoires de la Terre qui nous enseignent le lien à la Nature et au monde vivant que nous devons préserver, parce qu’il est la clef de nos devenirs.
***Le projet Hans Universalis a été initié par Emmanuel Hussenet explorateur et écrivain du Grand Nord
https://www.facebook.com/hansuniversalis.org/
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Source image Wikipédia
beluga_1 by G. Kuehl
"Tartupaluk, le Roc Gardien de l'Arctique" est le premier conte de la série "Contes et Histoires de l'Arbre Monde" qui fait suite à "Contes et Versets d'une Gardienne des Arbres Ô Mille Magies" ; pour l'Innocence et pour la Magie..